Version FLOP 50 : 🧷 26 juillet 1943 : L’univers donne naissance à Mick Jagger, l’homme qui survivra à l’univers

Quand un bébé naît en perfect’o cuir et criant “Let’s rock!”

Ce jour-là, les horloges se sont toutes mises à clignoter, la radio de Dartford a capté un solo de guitare céleste, et une infirmière a juré avoir vu une langue de deux mètres sortir du berceau. Le monde venait d’accoucher de Mick Jagger.

« À peine né, il a regardé son père et lui a dit : Tu peux me couper le cordon, mais tu ne couperas jamais ma vibe, mec. »

Pas de pleurs, pas de gazouillis. Juste un bébé qui se dandine avec une intensité telle qu’un obstétricien l’a comparé à “une anguille électrique sous amphèt’ dans un tupperware”. Le rock était né. Et il avait des joues à croquer.

À trois ans, il organisait des mini-tournées dans la salle de bains

Au lieu de collectionner les billes, Mick alignait les vinyles. Pendant que d’autres enfants jouaient au docteur, lui jouait les producteurs. À l’école, il a été renvoyé trois fois : une pour avoir transformé la cantine en club, une autre pour avoir lancé une mode « torse nu et boa », et une dernière pour avoir demandé du gin dans son biberon.

« Il m’a demandé si j’avais une Stratocaster ou au moins un maracas », confie encore choquée une animatrice de centre aéré.

L’énergie d’un hamster sous stéroïdes, la souplesse d’un spaghetti vivant

On dit souvent que Mick Jagger danse comme s’il essayait d’esquiver des abeilles imaginaires. Ce n’est pas faux. À 82 ans, l’homme se déplace encore sur scène comme si la gravité n’avait pas reçu sa mise à jour.

Il aurait :

• couru l’équivalent d’un semi-marathon en concert,
• cramé plus de calories qu’un cours de Zumba extrême,
• et provoqué deux luxations chez des kinés qui ont tenté de l’imiter.

« Ce mec est un mélange entre une chauve-souris hyperactive, un yogi sous MDMA et un mannequin de vitrine possédé. »

Sa routine santé : jus de citron, sommeil astral, sacrifice de batterie

Mick Jagger n’est pas fait de chair comme nous. Il serait composé de cuir vintage, de riffs distillés et d’une infime particule de Big Bang. Son régime ? Du quinoa lyophilisé, des grogs au rhum pirate, et 20 minutes de danses tribales tous les matins, face au soleil.

On murmure qu’il aurait vendu son âme au diable, mais qu’il l’aurait ensuite reprise à coups de claquettes et de grimaces lascives.

Il ne vieillit pas, il remixe l’existence

Là où d’autres s’effondrent dans leur fauteuil, Mick saute à pieds joints dans le présent. Il n’est pas un vieux rockeur. Il est l’essence du rock qui a refusé la retraite. Quand il monte sur scène, même le temps se lève pour l’applaudir.

Et non, il n’a toujours pas trouvé satisfaction. Mais à ce stade, c’est probablement parce qu’il la cache sous un canapé suédois ou entre deux ex-femmes.

Version TOP 50

Une vie de scène, d’excès et d’endurance hors norme

Michael Philip Jagger, né le 26 juillet 1943, est la voix des Rolling Stones depuis plus de six décennies. Avec ses compagnons de route – notamment Keith Richards – il a redéfini l’histoire de la musique populaire.

Célèbre pour ses performances endiablées, son charisme animal et son impressionnante longévité, Jagger a participé à l’écriture de nombreux hymnes du rock, dont Jumpin’ Jack Flash, Start Me Up ou encore Wild Horses. Les Stones ont vendu des centaines de millions de disques, rempli les stades du monde entier, et marqué des générations entières.

Si sa vie personnelle a fait les gros titres, sa carrière artistique reste l’une des plus constantes et emblématiques du XXe siècle. Anobli par la monarchie britannique en 2003, Mick Jagger reste actif en tournée, même octogénaire, prouvant que le rock ne meurt jamais, il fait des rappels.